Description

Article écrit à l'occasion de l'exposition à l’Hôtel de Caumont des toiles peintes en Provence par Nicolas de Staël. Un accrochage conçu avec la complicité du fils et de la petite-fille du peintre.

[Extrait]
Au printemps 1953, un tournant s’amorce dans la carrière de Nicolas de Staël. À la veille de ses 40 ans, le peintre vient enfin de rencontrer le succès en exposant à New York dans la galerie ­Knoedler. Le marchand Paul Rosenberg lui offre alors un contrat d’exclusivité, et lui commande des toiles pour une nouvelle exposition new-yorkaise, prévue en février 1954. De retour en France, Nicolas de Staël choisit de partir s’installer en Provence dans cette « lumière tout simplement fulgurante », si chère à son ami René Char. Il y restera une année, livrant quelque 250 toiles et presque autant de dessins, dont une riche sélection illumine aujourd’hui les cimaises de l’Hôtel de Caumont à Aix-en-Provence.

Titre

Nicolas de Staël, l’éblouissement du Sud

Créateur

Éditeur

Journal La Croix

Date

28/05/2018

Langue

Source

https://www.la-croix.com
Lire l'article en ligne (consulté le 10 juillet 2022)

Droits

Non libre de droits