Description

A partir des années 1820, les peintures de paysages remportent de plus en plus de succès auprès d’une clientèle d’amateurs aimant retrouver la spontanéité de l’étude en plein air. Les études de paysage sont réalisées lors de voyages et, en particulier en Italie. Il est le passage obligé pour bon nombre d’entre eux : les lauréats de prix de Rome et les autres. Les artistes se rencontrent, travaillent ensemble, et certains d’entre eux, comme Camille Corot (premiers voyages en Italie entre 1824 et 1828) et Théodore Caruelle d’Aligny incitent leurs confrères à peindre sur le motif, à étudier la nature, la lumière et les effets atmosphériques . Mais là encore, les paysages bien qu’étudiés sur le motif sont ensuite recomposés en atelier. La nature est idéalisée comme porteuse d’un sens moral.
En septembre 1811, Henri Beyle, qui deviendra plus tard Stendhal, connaît un sentiment d'émotion intense en découvrant Florence et ses merveilles (ici dépeinte sur un tableau de Thomas Cole datant de 1837).

Cole visited Italy in 1831 and made a small pencil sketch of this vista of Florence shortly before sunset. In his New York studio six years later, he transformed the drawing into this large oil painting, adding picturesque humans and goats to the foreground.

Titre

View of Florence

Titre Alternatif

Vue de Florence

Éditeur

Cleveland Museum of art, Collection Mr. and Mrs. William H. Marlatt Fund 1961.39 (US)
Mr. and Mrs. William H. Marlatt Fund/Bridgeman Images

Date

1837

Format

Huile sur toile, 125.4 x 186.7 cm

Droits

Non libre de droits