Description

Paroles de la chanson

Se questi muri sapessero parlare
Anche le strade potrebbero arrossire
Se questa gente avesse la pianura
Chiusa, Genova
Io questa notte ho voglia di cantare
Dalla finestra ti sento anche arrossire
Tanto nessuno ci può ascoltare
Sorda, Genova
Non mi basta un blues
Non mi basta un blues
Per averti un po' di più
Genoa, you are red and blue
Non mi basta un blues
Non mi basta un blues
Per averti un po' di più
Genoa, you are red and blue
Tra questa gente che osserva e si lamenta
Pure Colombo è stato uno fra cento
E adesso in mare veleggia la rumenta
Strana, Genova
Io questa notte ti vorrei parlare
E invece parto per mandarti a dire
Che tu sei bella, si, ma da ricordare
Bella più che mai
Non mi basta un blues
Non mi basta un blues
Per averti un po' di più
Genoa, you are red and blue
Non ci basta un blues
Non ci basta un blues
Per averti un po' di più
Genoa, you are red and blue

Certains disent que c’est grâce à la mer, que c'est à Gênes, port majeur de la Méditerranée, que les nouveautés arrivent en avant-première : le jazz, le swing, le rock’n’roll, les œuvres des chansonniers français.
Gênes est intimement liée aux auteurs-compositeurs et à la tradition de la grande chanson italienne, qui bien souvent l’évoquent et la content :

Les creuze de la mer et le caruggi de la vielle ville de Fabrizio De Andrè, le grenier sur la Mer ‘de Bacadasse) et ‘la grande tortue aux toits d’écailles grises’ de Gino Paoli, sans oublier que ‘qui regarde Gênes doit savoir que Gênes ne se regarde que depuis la mer’, comme nous avertit Ivano Fossati.

Le charme, au sens magique du terme, dont est capable Gênes, doit être très puissant, puisque même le Piémontais Paolo Conte la chante, et sait aussi ce qu’est la ‘macaja, singe de lumière et de folie’ ! et nous rappelle que ‘vague après vague, la mer nous fera dériver’, comme le chantait, Bruno Lauzi, génois également. A citer encore, l’élégance de Umberto Bindi, la mélancolie de Luigi Tenco, l’énergie des New Trolls…

L’histoire nous conte également le rôle important de deux autres génois, les frères Riverberi qui, après avoir passé beaucoup de temps avec des amis et collègues musiciens au bar Igea ou sur les bancs de Via Cecchi, en ont facilité la rencontre avec la discographie et ont créé ces légendes atemporelles.

Les bancs de Via Cecchi, où sont encore inscrits les noms des chansonniers ; mais aussi les échoppes de friture de Sottoripa, les enseignes des théâtres et autres lieux qui n’existent peut-être plus actuellement mais qui les ont entendus chanter ; jusqu’au cimetière de Staglieno, où repose Fabrizio De André,Gênes t vibre au son de la musique des artistes génois.

Titre

Genova Blues

Titre Alternatif

in album Il pianoforte non è il mio forte

Éditeur

WMG (au nom de CGD East West Italy); AtlasMusicPub, ASCAP, LatinAutorPerf, SODRAC et 2 sociétés de gestion des droits musicaux

Date

1990

Source