C. Une richesse architecturale

Dès le début du XXe siècle, le paysage balnéaire de Nice est source d’inspiration pour les réalisateurs. En 1930, la Promenade des Anglais est mise à l’honneur dans le film de Jean Bigo et Boris Kaufman, A propos de Nice. En 1970, c’est au tour de la plage des Ponchettes. En 2005, Brice de Nice casse les codes sur la plage des Bains Militaires.

Si Nice est connue pour son bord de mer, le pittoresque de la ville n’en reste pas moins prisé par les réalisateurs. Les vieilles ruelles, la gare Saint-Roch, le quartier Cimiez, et en particulier la Villa Liserb, mini-studio à elle seule, sont le terrain privilégié des caméras.

Monuments prestigieux, villas célèbres, gares majestueuses, la ville propose une importante diversité d’architectures qui inspirent les plus grands réalisateurs. Le Casino de la Jetée, aujourd’hui disparu, est le sujet d’un des premiers films, Nice, panorama du Casino pris d’un bateau, tourné par les frères Lumières à la fin du XVIIIe siècle. L’Opéra, l’Hôtel Negresco et l’Hôtel Régina sont aussi des emblèmes de Nice que le cinéma a participé à sublimer.